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, , , , . , . . , . , , , , -, . — ? — . — Parce que c'est une giberne d'un régiment de la garde, monsieur, qui porte l'aigle impérial¹. — ? — Pardon, monsieur, du sixième de ligne. — ?² — , , . — A Balaclave, monsieur! C'est tout simple — en bois de palme³. — ! — , , , . — Si vous voulez bien garder cela comme souvenir de cette rencontre, vous m'obligerez⁴. — . , , , , . , , , , , , , , . , . — , — , . — Oui, bon tabac, tabac turc, — , — et chez vous tabac russe? bon?⁵ — , , — , . — , , , — , , . . — Ils ne sont pas jolis ces bêtes de russes⁶, — . — De quoi de ce qu'ils rient donc?⁷ — , , . — , — , , . — Ne sortez pas de la ligne, à vos places, sacré nom...⁸ — , . . - comte Sazonoff, que j'ai beaucoup connu, monsieur⁹, — , — c'est un de ces vrais comtes russes, comme nous les aimons¹⁰. — Il y a un Sazonoff que j'ai connu, — , — mais il n'est pas comte, a moins que je sache, un petit brun de votre âge à peu près. — C'est ça, monsieur, c'est lui. Oh, que je voudrais le voir ce cher comte. Si vous le voyez, je vous pris bien de lui faire mes compliments. Capitaine Latour¹¹, — , . — N'est ce pas terrible la triste besogne, que nous faisons? Ça chauffait cette nuit, n'est-ce pas?¹² — , . — Oh, monsieur, c'est affreux! Mais quels gaillards vos soldats, quels gaillards! C'est un plaisir que de se battre contre des gaillards comme eux. — Il faut avouer que les vôtres ne se mouchent pas du pied non plus¹³, — , , . . , , , , , , , , , , , . , , , , , , . , . . . . , . , , , , , , . , , . — , , , , , , , , , , , ? ! — , . , . . , . , , , , , , , , , , . , ? , ? , ? . (bravoure de gentilhomme¹⁴) , , , , , , , , — , , . , , , , — . 1855 , 26 .

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