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, , , , , , . , : . . — , , , — , , , . , , . , , , , , , . , , , . — Bonjour la compagnie!¹ — , . . — Vous êtes le bourgeois?² — . - . — Quartire, quartire, logement, — , , . — Les Français sont de bons enfants. Que diable! Voyons! Ne nous fâchons pas, mon vieux³, — , . — A ça! Dites donc, on ne parle donc pas français dans cette boutique?⁴ — , . . . , . — — ... ... — , , . , , , , , , , , , , , . , , . — !!! — , . , . , , , , . . , , , - . — Vous n'êtes pas blessé? — . — Je crois que non, — , , — mais je l'ai manqué belle cette fois-ci, — , . — Quel est cet homme?⁵ — , . — Ah, je suis vraiment au désespoir de ce qui vient d'arriver⁶, — , . — C'est un fou, un malheureux qui ne savait pas ce qu'il faisait⁷. . , , , , . — Brigand, tu me la payeras, — , . — Nous autres nous sommes cléments après la victoire: mais nous ne pardonnons pas aux traîtres⁸, — . - , . , , . . - , . — Vous m'avez sauve la vie! Vous êtes Français⁹, — . . , , m-r Ramball', capitaine du 13-me léger¹⁰, — , , . , . — Je suis Russe¹¹, — . — --, à d'autres¹², — , . — Tout à l'heure vous allez me conter tout ça, — . — Charmé de rencontrer un compatriote. Eh bien! qu'allons nous faire de cet homme?¹³ — , , . , , , . , , , , , , . . — Vous m'avez sauvé la vie. Vous êtes Français. Vous me demandez sa grâce? Je vous l'accorde. Qu'on emmène cet homme¹⁴, — , , . , , , , , , ; . — On vous demandera quand on aura besoin de vous¹⁵, — . . , , . — Capitaine, ils ont de la soupe et du gigot de mouton dans la cuisine, — . — Faut-il vous l'apporter? — Oui, et le vin¹⁶, — .

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